
Rappelez-vous le 1er mai sur la Côte d’Opale. 5 courageux green teamers jouent les légionnaires à l’entraînement sur la ronde du Fort de l’Heurt, alors que soleil darde allègrement ses rayons printaniers. Pendant ce temps, dans le Sud la météo moins clémente oblige notre Président et son VP à se réchauffer dans une voiture en attendant le départ de l’épreuve cycliste. La raison: natation annulée. Température ressentie 4°. Bon d’accord. Mais on imagine aisément la frustration que cela peut engendrer. Et surtout, maintenant on fait quoi ? Ça doit forcément gamberger dans la voiture car une fois que la date fatidique arrivée, il faut en découdre et vite. Des mois d’entraînement, des longueurs et des kilomètres accumulés, il faut les mettre à profit.
Et c’est ce qu’il firent malgré tout en enchaînant vélo et course à pied dans des conditions difficiles. Si ce n’est pas la chaleur, ça sera le vent. Malgré cela, leurs performances forcent le respect car elles sont meilleures que l’année passée. Penser que ce n’est qu’un avant goût du l’Ironman de Vichy qui aura lieu au mois d’août donne légèrement le vertige.

Citius, altius, fortius (plus vite, plus haut, plus fort) ! Jamais devise olympique n’aura mieux été appliquée. Qu’est-ce qui pousse nos athlètes à aller toujours plus loin ? Qu’est-ce qui motive le président et le VP à s’engager dans des épreuves toujours plus difficiles ? La nature humaine dirons-nous. Sans faire de philosophie de comptoir, je vous invite à découvrir leurs émouvants récits afin d’y trouver une réponse ou à minima l’envie de se dépasser.